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Magnifiques conditions pour la Double de Mai !

Bravo à tous les participants ! 

Avec plus de 30 bateaux au départ, la Double de Mai s’est disputée dans des conditions idéales le week-end du 17 et 18 mai !

Félicitations aux premiers de chaque classes :

  • Katana de Philippe de Weck pour les TCFX
  • Opthymus de Denis Menetrey pour les TCF1
  • Siga de Dimitri Vaharis pour les TCf2
  • Furiosa 2 de Andrea Orlando pour les TCF3
  • EFG 3 de la Société Nautique de Genève pour les TCF4 (J70)

La première des traditionnelles Régates du Mardi Soir a eu lieu hier soir au large de la Nautique. Le départ a été donné le jour de l’inauguration du nouveau phare Ylliam. C’était donc une course historique pour cette série de régates, qui bénéficie désormais du soutien de EFG Private Banking et Porsche Genève.

Régate d’entraînement pour les uns, véritable « championnat du monde du mardi soir » et objectif prioritaire de la saison pour les autres, les Régates du Mardi sont surtout un très bel événement, que le Comité d’organisation, présidé par Jean-Luc Raffini, gère avec sérieux et compétence tout en perpétuant la dimension ludique de l’événement.

« Les mardis soirs, c’est en moyenne une vingtaine de courses par saison (19 en 2025) et plus de 80 bateaux inscrits cette année », précise Jean-Luc. « Pour les organiser le mieux possible, nous sommes une équipe d’une douzaine de personnes, évidemment bénévoles. Nous travaillons d’une façon très rapprochée et consensuelle, et tout particulièrement avec Eric Arnulf, qui dirige le Comité de Course. Nous sommes très complémentaires: Eric est un régatier très expérimenté. Moi, je viens de l’aviron et j’apporte ma structure organisationnelle. »

L’équipe des bénévoles du mardi est beaucoup plus spécialisée que celle du Bol d’Or, précise Jean-Luc. « Car notre rôle est essentiellement opérationnel. Il s’agit de poser les parcours, de pointer les concurrents et aussi d’agir comme jury de course. Ce sont des tâches qui requièrent des compétences précises. »

Les régates du mardi sont des courses d’entraînement pour les régatiers, mais aussi pour le Comité d’organisation. « Toutes les personnes engagées dans notre organisation apprennent beaucoup lors de cet exercice pratique. Nous essayons par ailleurs d’encourager la meilleure synergie possible avec les navigateurs, en intégrant régulièrement des régatiers à notre dispositif organisationnel. Ça leur permet de voir comment nous travaillons, et de comprendre à quelles contraintes nous devons faire face. »

Afin de permettre à tout ce monde de travailler dans les meilleures conditions possibles, la SNG a fait adapter les deux Galatées (bateaux à moteur utilisés par le Comité de course) par l’équipe des gardes-port. « Ils ont fait un travail fantastique », se réjouit Jean-Luc. « Grâce à cela, nous disposons de deux bateaux parfaitement fonctionnels et adaptés à nos besoins, avec notamment un espace de travail pour noter les résultats mais aussi un Marocain, c’est-à-dire un espar sur lequel nous établissons les pavillons de course. Il s’agit d’une construction sur-mesure qui correspond précisément à nos besoins. »

Les régates du mardi se disputent par n’importe quel temps, ce qui implique aussi un comité engagé et prêt à se mouiller, au propre comme au figuré. « L’an passé, nous n’avons annulé que deux courses en raison de conditions météo relativement extrêmes », raconte Jean-Luc. « L’objectif n’est pas de casser des voiliers, ou de prendre des risques. »

Depuis le début des régates du mardi, il n’y a heureusement jamais eu d’accident grave. « Ces régates sont assez complexes car elles réunissent des voiliers très différents; des protos en carbone très légers, des voiliers classiques, des Surprises, des voiliers avec des échelles de trapèze… Parfois, ça frotte un peu. Une fois, il y a eu un démâtage et à deux reprises des voiliers ont arraché notre Marocain, mais dans l’ensemble ça se passe bien. Je dois dire que je suis très impressionné de voir les propriétaires de prototypes en carbone participer à nos entraînements du mardi soir », conclut Jean-Luc. « C’est une preuve de grande confiance envers notre organisation et les autres régatiers, et j’en suis très satisfait. »

Bernard Schopfer

Ces huit dernières années, la rade de Genève a vécu une profonde métamorphose avec la création de la plage des Eaux-Vives, l’aménagement du quai de Cologny et l’extension du Port Noir. Inauguré hier soir , mardi 6 mai 2025 en compagnie de représentants de la Société Nautique de Genève ainsi que des autorités cantonales et communales, le Phare Ylliam met un point final à ces travaux débutés en 2017.

Constitué d’une structure légère en métal, avec des câbles fins qui préservent la vue et donnent à l’ensemble son côté aérien et léger, il s’élève à 21 mètres. Il est surmonté d’une lanterne a diode à faible consommation, qui peut être descendue manuellement afin d’en faciliter l’entretien.

En plus d’éclairer l’entrée dans la rade de Genève, le phare Ylliam abrite un bureau relié à la capitainerie du Club par un cordon de fibre optique, ce qui permettra aux bénévoles en charge des pointages lors des grands courses de la SNG (Bol d’Or du Léman, Tour du Léman à l’aviron…) de travailler dans des conditions optimales. Il est par ailleurs doté d’un espace de rangement pour le matériel de régate ainsi que d’une salle de repos.

L’élaboration du phare Ylliam a débuté par un concours d’architecture international et la nomination d’un jury indépendant, constitué de l’architecte zurichoise Marie-Claude Bétrix, l’architecte paysagiste Marie-Hélène Giraud, membre de la Commission d’urbanisme du Canton de Genève, l’architecte cantonal de Genève Francesco della Casa et le Directeur de l’OCEau, Alexandre Wisard. L’ingénieur Thomas Jundt, membre de la SNG, et le chef de la Capitainerie cantonale Donald Buchet faisaient également partie du jury, tout comme Pierre Girod, Président du Jury, et José Bonny, Vice-président.

93 projets ont été déposés, et six ont été retenus pour la phase finale lors de laquelle la faisabilité, le coût de réalisation et le style ont été pris en compte. Le verdict du jury a été rendu au mois de décembre 2021 et c’est le projet du bureau genevois BUREAU, fondé par Daniel Zamarbide et Galliane Zamarbide ainsi que Carine Pimenta, qui a été retenu. L’autorisation de construire a été délivrée le 23 février 2023 et les travaux de construction ont débuté le 1er octobre 2024.

Président de la Société Nautique de Genève de 2003 à 2015, Pierre-Yves Firmenich s’est immédiatement enthousiasmé pour ce projet et il a généreusement proposé de le financer. « J’ai toujours été un membre très actif de la Nautique, qui m’a beaucoup apporté tout au long de ma vie », a-t-il déclaré. « L’idée d’ériger un phare au bout de la jetée Nord m’a beaucoup plu, et j’ai estimé que c’était une belle façon de rendre à mon club ce qu’il m’avait donné. Ça me fait très plaisir, sincèrement. »

Le phare s’appelle donc « Phare Ylliam » en mémoire de la fameuse lignée de voiliers de la famille Firmenich. Il marque désormais symboliquement l’entrée dans la rade de Genève et constitue la nouvelle figure de proue de la Société Nautique de Genève.

« Aujourd’hui, nous sommes extrêmement fiers d’inaugurer ce phare et de le mettre à la disposition de tous les usagers du Léman », a déclaré Axel Meyer, le président de la Société Nautique de Genève. « Je remercie chaleureusement toutes les personnes qui ont été impliquées dans son élaboration, et tout particulièrement Pierre-Yves Firmenich pour son engagement et son soutien généreux. »

Découvrez la nouvelle collection !

Vous l’attendiez, la nouvelle boutique du Club est désormais accessible ! Le show room à l’entrée du Club House vous permet de voir et de venir essayer tous les articles en vente.

Vous pouvez ensuite passer commande directement depuis le e-shop ici en cliquant sur les boutons ci-dessous pour vous faire livrer directement à votre domicile !

Le show room sera accessible aux horaires d’ouverture de la réception.

Cocktail de lancement réussi pour l’ouverture de saison !

Hier soir, mardi 29 avril, a eu lieu le cocktail d’ouverture des Régates du Mardi. Réunissant plus de 180 participants, cette agréable soirée a notamment été marquée par la présentation des nouveautés de la saison par Jean-Luc Raffini et Eric Arnulf avec quelques évolutions du côté des règles de course.

Cette soirée a aussi été l’occasion pour nos deux partenaires des Régates du Mardi de se présenter aux plus de 80 équipages inscrits cette saison.

Partenaire historique de nos écoles de voile et du groupe compétition, cette année EFG Private Banking nous fait le plaisir de renforcer son soutien au Club en élargissant son partenariat aux Régates du Mardi.

Nouvel arrivé, dès 2025 Porsche Genève s’associe au Club en tant que co-sponsor aux cotés de EFG pour donner à nos régates un soutien complémentaire afin d’offrir aux régatiers des conditions toujours plus agréables et d’une qualité irréprochable.

Merci à nos deux partenaires pour leur présence et leur soutien à nos régates d’entraînement ! Sans oublier notre comité d’organisation des Régates du Mardi, emmené par Jean-Luc Raffini et Eric Arnulf et tous les bénévoles qui œuvrent à terre et sur l’eau pour proposer 19 soirées de régates.

Rendez-vous le mardi 6 mai à 19h sur la ligne de départ !

En 2009, âgé de 10 ans, Joshua Schopfer disputait sa première régate en Optimist sous les couleurs de la SNG. Seize ans plus tard, il s’apprête à disputer la Mini Transat. Un itinéraire et un projet qu’il présentera aux membres du Club le 27 mars à 18h30 (sur inscription).

Né d’un père suisse, planchiste accompli, régatier amateur et membre de l’équipe Alinghi de 2003, et d’une maman britannique, petite-fille d’un capitaine de navires marchands, Joshua a un code génétique tourné vers le large.

Dès 2010, ce pur produit du Sailing Team a fait ses premières classes de dériveurs devant la SNG puis partout en Europe. A 17 ans, en parallèle de ses études à l’Ecole Hôtelière de Genève, il s’entraîne sur lestés. Avec quatre participations aux « 5 jours du Léman » et deux victoires à la « Translémanique en solitaire », il marque sa présence sportive en eau lémanique.

Mais son sillage se corse. Les embruns deviennent salés. Trois grandes courses plus tard (Tour de France, Rolex Fastnet Race, Palermo-Monte Carlo), « Josh » décide de s’installer en solitaire dans le cockpit de son Mini 6,50.

En 2024, il truste les podiums des courses en Méditerranée du circuit Mini et s’offre le luxe d’une victoire d’étape de la course « Les Sables les Açores les Sables ».

Désormais dans le sillage de Justine Mettraux, Alan Roura, Valentin Gautier et bien d’autres marins suisses célèbres, Joshua Schopfer vise une participation à la Mini-Transat 6,50.

A six mois du départ de la Mini Transat, Joshua Schopfer à plaisir de vous inviter à une soirée de présentation de son projet :

le 27 mars à 18h30 au Tender

Venez le soutenir nombreux, pour en apprendre plus sur son ambitieux objectif, traverser l’Atlantique en solitaire sur le plus petit bateau de course au large du monde.

Le nombre de places est limité; merci d’avance de confirmer votre participation en cliquant sur ce lien.

Comme chaque année depuis 1986, le Club a organisé sa traditionnelle régate en mer, passage obligatoire pour être admis en qualité de challenger pour l’America’s Cup. 

Pour cette année 2025 celle-ci a été mise en place en collaboration avec le Real Club Náutico de Barcelona du 21 au 23 février.

Avec 26 J/70 et 23 Waszp sur les lignes de départ, cette édition 2025 est encore une belle réussite !

Au terme de trois courses sur les deux règlementaires pour valider la compétition, ce sont deux équipages espagnols (menés par Pablo Garcia et Luis Martin Cabiedes) et un danois (mené par Sten Mohr) qui montent sur le podium dans la catégorie J/70.

Chez les Waszp, l’espagnol Pablo Astiazaran Pèrez-Cela termine en haut du podium, suivi du français Hippolyte Gruet, devant le norvégien Martinius Melleby Hopstock.

Merci au Real Club Náutico de Barcelona pour cette fructueuse collaboration et pour l’accueil réservé à l’ensemble des équipages venus de toute l’Europe.

La Genevoise a franchi la ligne d’arrivée samedi 25 janvier à 14h38, bouclant le tour du monde en 76 jours 01 heure et 36 min, se plaçant comme la concurrente féminine la plus rapide sur ce tour du monde en solitaire. Améliorant de 11 jours le record de Clarisse Crémer, Justine établit un nouveau standard dans l’histoire de la compétition.

À bord de son IMOCA TeamWork, Justine a parcouru les océans du globe avec une maîtrise, une détermination et un courage exemplaires. Les dernières étapes dans l’Atlantique Nord n’ont pas été de tout repos, marquées par des conditions météorologiques extrêmes, mais elle a su naviguer avec maîtrise et résilience jusqu’à la ligne d’arrivée.

Justine marque cette édition en terminant cinq fois première : première femme et première internationale, première avec un bateau d’ancienne génération, première Suissesse à boucler un Vendée Globe, tout cela, lors de sa première participation.

La Société Nautique de Genève est fière de compter Justine parmi ses membres ! Bravo, Justine, pour cette aventure hors du commun et pour avoir porté si haut les couleurs de la Nautique et de la Suisse !

Retrouvez interviews et images ici sur le site du Vendée Globe

Membre du Club, Alicia de Pfyffer prépare la Mini Transat 2025. Elle vient de mettre un terme à sa saison, qu’elle conclut au 9ème rang et première femme du classement annuel des ministes. « C’est vraiment une belle année qui se conclut, qui me rend fière de ce que j’ai accompli », déclare-t-elle avec enthousiasme.

Cette année, Alicia a vu son travail récompensé par de bons résultats, notamment en intégrant dès le début de la saison le top 10 du championnat des Minis. Mais ce qui l’a encore plus motivée, ce sont ses deux premières courses en Méditerranée. La première, une régate de 500 milles, lui a permis de décrocher la 6ème place. La deuxième, également longue de 500 milles, l’a vue monter sur la troisième marche du podium. « Ces bons résultats m’ont vraiment donné confiance. J’évolue bien et ça me donne encore plus envie de continuer à progresser », confie Alicia.

La dernière course de la saison, longue de 1000 milles entre Palma et Melilla (et retour), s’est terminée la semaine passée. Associée à Edouard Golbery, également membre de la SNG, Alicia s’y est classée à une belle sixième place. « Ça s’est très bien passé avec Edouard et il m’a beaucoup apporté grâce à son expérience acquise dans la classe Figaro. Par contre cette fois c’est moi qui était la skipper, les rôles étaient donc inversés et c’était une expérience intéressante! »

Lorsqu’elle ne navigue pas en Méditerranée, Alicia s’entraîne à Lorient avec le fameux coach Tanguy Leglatin. « Travailler avec lui a été une expérience incroyable», raconte-t-elle avec un sourire. « J’ai énormément appris à ses côtés et cela m’a permis d’évoluer dans ma manière de naviguer. C’était une année de progrès constants et je me sens plus forte et sereine sur l’eau. »

Alicia n’a pas seulement cherché à multiplier les courses : elle a aussi accumulé le maximum de milles afin de garantir sa qualification à la Mini. « J’ai lancé ma campagne au mois de mars et j’ai cherché à participer à un maximum de courses. J’ai ramené mon bateau en Méditerranée pour compléter mes milles et être vraiment sûre d’être qualifiée pour la Mini Transat.»

Alicia saura prochainement si elle est qualifiée, tout comme Joshua Schopfer, également candidat à la grande Transat de l’année prochaine sous les couleurs de la SNG.

À bord de son bateau, Alicia se sent bien. « C’est un vrai bonheur de naviguer en solitaire sur un voilier que je connais parfaitement. Je me sens à l’aise et je peux vraiment le pousser. Il est solide et bien préparé, avec des équipements de qualité grâce à mon partenariat avec Gottifredi Maffioli. Plus je navigue, plus je prends du plaisir et j’arrive à mieux gérer mon stress, même quand les conditions sont difficiles. »

Alicia porte fièrement les couleurs de l’organisation internationale CHIP (Child Identity Protection), qui vise à garantir l’intégrité, la transparence et l’accessibilité de l’identité de chaque enfant en ce qui concerne son nom, sa nationalité et ses relations familiales, ainsi que le rétablissement rapide de tous les éléments manquants. « Collaborer avec des associations comme CHIP, c’est quelque chose qui me tient à cœur. Ça rajoute un aspect humain et solidaire à cette aventure, et c’est quelque chose que j’aimerais continuer à développer. »

Pour Alicia de Pfyffer, cette saison s’est bien déroulée mais sa campagne est loin d’être terminée. « Je suis à fond, et j’ai vraiment hâte de continuer cette aventure l’année prochaine. Les défis sont encore nombreux, mais je suis plus motivée que jamais à les relever ! »

Propos recueillis par Alexia Blanc

Ce dimanche 10 novembre, à 13h02, Justine Mettraux, à bord de l’IMOCA TeamWork Team Snef a pris le départ de son premier Vendée Globe. L’aboutissement d’un peu plus de deux années de travail pour la skipper suisse, ses partenaires et son équipe technique. Les conditions du départ, calmes, voire très calmes, de secteur Nord-Est ont permis à tout le monde de partir sereinement.

Justine Mettraux, juste avant de partir rejoindre son IMOCA ce matin :
« Ce matin je vais bien, j’ai pu bien dormir, ce qui est une bonne nouvelle ! J’essaie de me dire que je connais bien mon bateau que je sais ou je vais. Il va falloir que je trouve le rythme de la course intelligemment en prenant soin de mon bateau et ça devrait bien se passer. Le programme dans l’immédiat ce sera de remettre à jour la météo, Julien (Villion, ndlr) est déjà en train d’y travailler dans le bateau. Comme ça on sera bien à jour pour le début de la course. On va partir dans un flux très faible de Nord-Est, au portant donc, jusqu’au Cap Finisterre. Une fois arrivée à ce premier point de passage, le vent va se renforcer, et, selon le moment auquel on passe on devrait avoir entre 30 et 40 noeuds de vent donc il faudra doser, être prudent, mais ça ne devrait pas durer trop longtemps. Ensuite, la descente au portant jusqu’au pot-au-noir sera plutôt tranquille quoi que stratégique car il n’y a pas beaucoup de vent sur la zone et les alizés ne sont pas très bien établis. Il y aura donc du jeu, mais tout ça arrivera dans au moins une semaine donc ce n’est pas encore bien calé. »

Suivez Justine Mettraux ici !

La suissesse Justine Mettraux brillante membre du Club tire ses premiers bords sur le lac Léman sur le bateau familial puis au Centre d’Entraînement à la Régate de Genève et attrape très vite le virus de la régate et du large. En 2013 pour sa première grande course au large, elle boucle la Mini Transat en 2e position sous les couleurs de TeamWork. Elle continue de s’entraîner et de progresser en participant à toutes les grandes courses océaniques : Volvo Ocean Race, Solitaire du Figaro, Transat Jacques Vabre, etc. En 2022, son sponsor historique, TeamWork, rachète un foiler de dernière génération pour lui permettre de préparer le Vendée Globe 2024.